Alors...

Journal de bord d'un Auvergnat de 22 ans expédié au pays des glaçons pour étudier les cailloux... du moins en théorie.

lundi 18 janvier 2016

Péripéties et pellicules.

Je suis rentré 10 jours et c'est la fin de mon excusrion en Bougnaterie. Comme je suis sympa je vous ai ramené la neige. Comme je suis pas forcément chanceux, la sécurité de Charles de Gaulle m'a retenu trop longtemps pour rien et m'a fait rater mon avion. Chose qui entraîne l'annulation du billet retour aussi. Donc j'ai payé 251€ pour reprendre des billets aller-retour pour Clermont. Puis après 5h d'attente ç'aurait pas été drôle si notre avion marchait. Alors on a eu deux heures de retard. Bref, après 17h et une fortune j'ai fini par arriver à Clermont. Sans perdre mon sang froid alors que j'ai été le seul qu'on a pas appellé au micro, que c'était le seul avion en retard de la journée à ce terminal, que le guichetier m'a parlé comme un merde (avec un joli "Bah en même temps si vous prenez pas d'assurance faut pas vous étonner!), que j'ai dit au service de sécurité que je voulais jeter ma bouteille de Brennevín pour pas louper l'avion, que j'ai discuté avec des Suédois qui vivaient pire (2 jours qu'ils avaient quitté l'hôtel de Martinique, 24h dans un gymnase par 35° sans eau ni nourriture, pas de rabais sur l'avion annulé, pas d'aide sur la correspondance loupée, pas d'aide sur les bagages perdus, au final, 4 jours dans les aéroports de France pour 10j en Martinique et traités comme des chiens par un personnel qui parle l'anglais comme je parle le hongrois...)

Pov'cons.


Passons. 

Après ces horreurs j'ai fini par arriver ici et retrouver mon scanner. J'ai ouvert une centaine de cartons pendant une heure pour le trouver rangé sur une étagère... Bon je ne vais pas m'éterniser sur les termes techniques (si ça vous interesse, il y a globalement le même article ici) et je vous pond les plus sales. Je les ai faites avec une pellicule pas chère et périmée qui donne cet effet moyen. Et un appareil tout manuel que j'aime beaucoup (le Smena 8M).



Tout est à Reykjavík même.

Tjörnin = La mare C'est un lac en plein milieu de la ville, assez grand. Les maisons qu'on voit là sont les plus chères du pays, la plupart sont juste pour des ministres.

La mare est gelée la plupart de l'hiver mais elle est alimentée par de l'eau un peu plus chaude alors ce coin est toujours fondu et plein d'oiseaux. (Et à l'occasion d'étudiants déguisés en Stitch).


La fameuse ossature de Drakkar.

Cette photo pourrait sortir des années 1970. Il avait beaucoup neigé en décembre.


Bon il est 14h30/15h environ...

Toujours la mare...

Cette photo est une prouesse technique. On dirait pas comme ça. Si vous allez sur Kamerafabrik vous aurez le pourquoi du comment.

Et les canards mangent de la neige parfois...


A la fin du film j'ai superposé plusieurs cliché mais j'aime bien le rendu final avec cette chambre grand format du musée de la photographie.

Bientôt je mettrai une autre pellicule en ligne.

5 commentaires:

  1. Une chouette série ! Coup de coeur pour quelques unes avec ce rendu si particulier. C'était du 400 Asa ?
    BRAVO.

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  2. Super! C'est du 100 à 400ISO! ^^ Le mystère plane sur le film d'origine qui est rebadgé, j'avais mené mon enquête sur le fofo et/ou sur mon blog.

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  3. Tu sembles chanceux avec les transports, bienvenue au club !
    J'aime énormément l'avant dernière photo, et celle qui pourrait sortir des années 1970 ! Félicitations !

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    1. Je suis juste pas doué, ni habitué des aéroports, maintenant je sais comment ça marche et je suis prêt à affronter tout les imprévus. ^^ Par contre si ç'aurait pû éviter de violer mon porte-monnaie au passage j'aurais apprécié.
      Les canards? Hé hé merci! =)

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  4. Oui voilà, un imprévu qui ne coûte rien n'est pas dérangeant, par contre quand il te fait dépenser des milles et des cents...
    Tout à fait ! De rien

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Un commentaire siouplé!